Avec l’avènement des réseaux sociaux, les réactions extrêmes du grand public s’amplifient autour de nombreux sujets. Un terreau fertile pour les fake news, avec l’intention de nuire et de manipuler, ou simplement de gagner de l’argent avec les modèles économiques du web basés sur le trafic à tout prix. Cela impacte le métier de journaliste. Lisa Wyler nous éclaire de son point de vue d’attachée de presse expérimentée.
Le journalisme “de réaction” peut être dicté par les polémiques qui montent sur les réseaux sociaux sur des sujets parfois montés de toutes pièces par des lobbyistes plus ou moins identifiés, ou simplement suiveur des tendances de recherche pour capter du trafic. Un challenge au quotidien pour les professionnels de la communication dont le métier est de capter l’attention des journalistes pour leur faire parler d’un sujet, ou d’un produit, cher à leur client annonceur.
Des métiers et des façons de travailler qui changent au fil des mois, des évolutions d’usages en ligne, et des tentatives de transformation des médias.
Regard.